• Tag sallertaine

    Résultats pour la recherche du tag sallertaine :
  •       Erigé entre ciel et terre, dominant l’horizon plat du marais, le moulin de Rairé est le type même du grand moulin de l’ouest, un de ces « grands moulins-tours » du Pays de Monts, comme le disent eux-mêmes Charles Rivals et C. Gibbings. En effet, sa tour haute de 12 mètres,...

    Lire la suite...

  •       Outre l’existence de deux portes diamétralement opposées pour accéder en toute sécurité aux rez-de-chaussée, le moulin de Rairé possédait au premier étage deux grandes ouvertures fonctionnelles probablement pour charger directement les sacs de farine dans les tombereaux. Un œil...

    Lire la suite...

  •       Si la maîtrise de l’eau et l’édification d’un moulin hydraulique requièrent des aptitudes et des méthodes de travail bien précises, la mise en œuvre d’un moulin éolien relève à la fois du tour de force et de l’équilibre. L’ajustement des éléments eux-mêmes, en ne...

    Lire la suite...

  •       A l’origine de la toiture, qui repose sur une glissière de chêne le « chemin dormant », était déplacée grâce à une longue perche de bois, le guivre, solidaire du toit et actionné par un cabestan qu’on amarre à des plots de pierre ou des pieux dans le cerne. En 1864, suite...

    Lire la suite...

  •       « Les tournants et les virans »   Le moulin de Rairé, tel qu’on le voit aujourd’hui, est identique à ce qu’il était voilà presque 150 ans, quand l’ancêtre Charles était venu s’installer. Son mécanisme de moulin à blé a quelque peu varié au cours des siècles, mais...

    Lire la suite...

  •       Quatre blanches demoiselles (les ailes)    A l’origine, la toile de lin   Issu des techniques de construction navale, c’est tout naturellement avec de solides voiles de lin que le moulin de Rairé fut « habillé ». La comparaison ne s’arrête pas là puisque le travail du...

    Lire la suite...

  •     En 1864, le moulin de Rairé adopte le système Berton   Mais nous ne saurons plus jamais combien ce travail devait être pénible puisque, au milieu du XIXème siècle, un jeune ingénieur parisien, Pierre-Théophile BERTON (1827-1894), dont le père avait déjà inventé un système...

    Lire la suite...

  •       Aujourd’hui encore, le meunier de Rairé (M. Burgaud) se trouve confronté à l’éternel dilemme de maintenir son activité dans un monde où le nouveau est déjà consommé avant d’être né. Lui qui entend bien laisser à ceux qui viennent son compagnon tel qu’il l’a trouvé...

    Lire la suite...

  •       Domestiquer le vent   La fonction essentielle du moulin à vent est de transformer l’énergie naturelle en force directement utilisable. Si la vocation céréalière du moulin de Rairé rend compte partiellement de la singulière complexité de ses mécanismes, le régime des vents...

    Lire la suite...

  •       La préférence du meunier maraîchin va vers les vents dominants de secteur ouest à nord-ouest que les gents du pays désignent respectivement sous le nom de « salaï » et « norois ». Ils sont doux, réguliers. Le moulin « ronronne » deoucement au rythme du tic-tac du...

    Lire la suite...