• Photo du Moulin de Rairé en Vendée

     

     

     

    Si la maîtrise de l’eau et l’édification d’un moulin hydraulique requièrent des aptitudes et des méthodes de travail bien précises, la mise en œuvre d’un moulin éolien relève à la fois du tour de force et de l’équilibre. L’ajustement des éléments eux-mêmes, en ne songeant qu’aux ailes par exemple, est plus complexe, ne serait-ce que du simple fait de la hauteur, que la pose d’une roue à aubes.

     

    Mais la difficulté est ailleurs. La rivière, qu’elle soit fougueuse ou non, ne pose pas de problèmes majeurs : son cours varie peu ; elle coule toujours au même endroit alors que le vent est instable par définition, changeant et très difficile à maîtriser, d’où la naissance tardive du moulin éolien par rapport au moulin à eau. Comment capter tous les vents et non pas seulement ceux dominants ? Une gageure que les maîtres charpentiers du Moyen-Age, Sous l’impulsion des grands ingénieurs et architectes, tel Villard de Honnecourt, ont réussi à résoudre en virtuoses. De modèle simple, le moulin chandelier n’est en fait qu’une cage de bois qui repose et tourne sur un énorme pivot. Précaires et fragiles, ces moulins on peu à peu laissé la place aux robustes moulins en pierre qui résistent mieux aux pressions du vent. Mais l’ensemble charpente-ailes reste mobile pour capter l’énergie.

     


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  • Commentaires

    1
    Dimanche 18 Janvier 2015 à 14:55

    coucou MO

    Bien lu ton mail...tu choisis comme tu veux pour le teleph.

    je t'ecris sur le mail de suite.

    Gros bisous, bonne fin de dimanche, maurice

     

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