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La Porte de la mer vue depuis l’intérieur de la bastide.
Son nom évoque la proximité de la Garonne, sensible aux marées jusqu'à Langon.
A l'origine, un simple portail dans l'alignement du mur était défendu par une bretèche,
trois archères et des mâchicoulis toujours visibles.
La tour en avancée a été construite postérieurement,
mais assez vite puisqu'on ne note pas de différence d'appareil.
Une terrasse crénelée et un imposant mâchicoulis assuraient la défense de la tour
au sommet de laquelle on accédait par des échelles amovibles.
Le pont-levis devint fixe en 1716.
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Le passage ou ruet, partiellement conservé, dégagé de l'enceinte fortifiée,
permettait la circulation des soldats tout autour de la ville et l'accès aux archères.
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La porte de l'horloge, appelée initialement "Porte Vernihaut",
Porte du collège ou Porte Sainte-Anne en raison du collège des Pères de la Doctrine
chrétienne et de sa chapelle qui y étaient accolés au XVIIe siècle.
Une pierre gravée rappelle cette fondation ;
Elle est posée près du mur d'enceinte à l’intérieur de la ville.
En 1772, elle devient le Porte de l'Horloge lorsqu'un mécanisme d'horlogerie y est installé.
Pour cela elle est surélevée d'un quatrième étage
couvert d'un toit en dôme et surmonté d'un clocheton.
On peut remarquer l'appareil différent.
On accède à l'étage par le chemin de ronde.
Les différents étages sont percés d'archères.
Une canonnière a été aménagée sous l'archère centrale.
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Le passage, couloir voûté en berceau ogival,
défendu par une herse précédée d'un assommoir, s'ouvrait sur un pont-levis.
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