Le singe siamang est originaire des régions montagneuses 

et boisées de la Malaisie et de Sumatra. 

Les siamang vivent en groupes familiaux comptant 4 à 10 individus. 

Ils recherchent parmi les hautes frondaisons, 

les feuilles et les fruits qui constituent l'essentiel de leur nourriture, 

croquant à l'occasion des insectes et des œufs. 

Ils ne descendent de leurs arbres que pour boire.

 Les liens familiaux sont plus étroits chez lui que chez les autres gibbons. 

On trouve rarement la femelle, le mâle et le ou les deux petits

à plus de 30 mètres les uns des autres. 

La femelle met au monde un petit après 235 jours de gestation. 

 A l'aube et au crépuscule, les siamang poussent 

des hurlements audibles à 3 ou 4 kilomètres de distance. 

La gorge du siamang est élastique et se dilate, elle amplifie ses cris

auxquels elle donne une étonnante résonance. 

Les hurlements du mâle seraient destinés à décourager ses rivaux  et les séries

de longs aboiements de la femelle seraient associés à la défense du territoire. 

Le singe siamang est le plus grand des singes gibbons, 

debout il mesure 1.50 mètre (le corps de 0.75 à 0.90 mètre) 

Il pèse entre 8 est 13 kg. 

Il a une particularité, ses bras sont plus longs que ses jambes.

Sa longévité va de 15 à 25 ans 

La doyenne des animaux du parc de Branféré, 

est une guenon siamang, nommée Bibousse, elle a 35 ans.

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 Le saïmiri à tête noire est originaire de la forêt amazonienne d'Amérique du Sud, en Bolivie. 

Il vit dans les forêts pluviales des plaines. 

C'est un primate diurne, très vif et très actif,  ne reste pas isoler, il a un fort instinct grégaire. 

Les groupes peuvent atteindre jusqu'à 70 individus. 

Il communique vocalement par tout un tas de cris différents, 

il est très bruyant, c'est le plus bavard des singes de l'Amérique du Sud. 

On répertorie 26 cris : Gazouillis, pépiements, couinements, jappements,

gloussements, piaulements, ronflements, grondements, croassements, ronronnements... 

Les contacts tactiles sont plutôt brefs : 

Épouillage mutuel, salut en se reniflant.

 Le saïmiri à tête noire est proche du singe capucin dont il partage le territoire. 

Il passe beaucoup de temps à rechercher de la nourriture, 

il se déplace en bandes et en poussant toutes sortes de cris 

pour débusquer les insectes dont il se nourrit. 

Il marque son territoire en urinant sur ses pattes, 

ainsi quand il marche, il laisse son odeur partout où il passe.