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Par kordouane le 19 Août 2012 à 15:35
On entre au château en franchissant un pont-levis de faible largeur,
le passage est réduit à moins de 1.50 mètre et l'étroite porte du châtelet
est très basse pour obliger les cavaliers à descendre de cheval.
A terre, il est beaucoup moins puissant que sur sa monture.
Lorsqu'il est relevé, le tablier en bois du pont-levis se loge
dans une réserve visible en creux sur la façade du châtelet.
Cette grande fente dans la pierre se nomme (feuillure d'encastrement)
elle est verticale et se situe au-dessous de l'arc de décharge.
Aujourd'hui, c'est un pont dormant qui permet d'entrer dans le château.
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Par kordouane le 19 Août 2012 à 12:56
En 1847, Gustave Flaubert et Maxime Du Camp visitent la Bretagne.
Ils livrent leurs souvenirs dans un livre "Par les champs et par les grèves"
Ils découvrent Ranrouët qui est alors un château en ruines dont la cour
abritée des vents est cultivée (potager).
Aujourd'hui, ce château est toujours en ruines.
Mais depuis 1970, on a commencé à les mettre en valeur
en partie relayée par la mairie d'Herbignac.
Des fouilles ont été réalisée et en 1989 le Conseil Général de la Loire Atlantique
s'est porté acquéreur.
Il n'est pas question de reconstruire le château, mais de consolider ce qui en reste.
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