Toutes les amphores n'ont pas la même forme. 

Suivant sa forme, l'amphore est dédié à un certain type d'aliment. 

Par exemple : 

L'huile d'olive est contenue dans des amphores arrondies (Dressel) 

provenant essentiellement du sud de l'Espagne. 

On n'en a très peu découvert lors des fouilles sur le site du Fâ. 

Dans nos régions, l'utilisation de l'huile reste davantage liée 

à l'éclairage ou à l'hygiène plus qu'à l'alimentation 

Pour le vin, les dressels venaient plutôt de Grèce ou d'Italie, 

sachant que l'on maîtrisaient déjà la fabrication des tonneaux. 

 Les amphores 

Petit inconvénient des ces récipients, c'est leur poids !! 

Une amphore d'une capacité de 26 litres et pèse à vide déjà 26 kg. 

Chargées à dos d'esclaves, 

les amphores sont soigneusement disposées dans la cale du bateau. 

Leur pied d'un forme singulière est utile à la cohésion du chargement. 

Rangées debout en lignes parallèles, calées par des branchages. 

Les espaces libres entre quatre cols permet 

de loger les pieds de la rangée supérieure et de stabiliser l'ensemble. 

Un grand bateau pouvait recevoir quatre étages d'amphores 

(voir sur la photo) 

 Les amphores sont des récipients en terre cuite servant 

à conserver et/ou à transporter sur de longues distances. 

(essentiellement par voie maritime ou fluviale) 

des produits comme le vin, l'huile d'olive, des saumures, le garum... 

(sauce à base de poisson apparentée au nuöc màm, couramment utilisée dans la cuisine romaine) 

Ces produits proviennent des quatre coins de l'Empire Romain 

parvenant par Narbo (Narbonne) par différentes voies maritimes 

et ensuite par voies terrestres jusqu'à Tolosa (Toulouse). 

Ensuite par voies fluviales par la Garonne, la Dordogne. 

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Le cimetière de bateaux de la marine nationale. 

L'escorteur d'escadre "La Galissonnière" 

Le croiseur "Le Colbert" 

L'escorteur d'escadre "Le Duperré" 

L’aviso-escorteur « Enseigne de vaisseau Henry » 

L’aviso « Détroyat »

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La cheminée du Colbert est fermée par une bâche rouge