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Par kordouane le 12 Août 2014 à 06:56
L'histoire de l'élevage de la préhistoire à nos jours
Un istor diwar-benn ar sevel-loened...
La domestication à la Préhistoire
L’être humain, apparu sur terre il y a quatre millions d’années,
a longtemps été nomade et prédateur, prélevant sa nourriture par la chasse,
la pêche et la cueillette.
Au Néolithique, à partir de 8000 avant J.C.,
l’homme devient progressivement producteur de nourriture,
grâce à la domestication et à l’agriculture.
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Par kordouane le 12 Août 2014 à 06:52
De l’Antiquité à l’Ancien Régime (2)
Cette période est marquée par une lente amélioration de l’élevage,
les animaux étant relégués à pâturer de maigres sols.
La culture de céréales est privilégiée, et reste à la base de l’alimentation humaine.
Les bovins se développent sensiblement car ils apportent une force de travail pour les travaux du sol.
Les ovins sont élevés pour satisfaire les besoins en laine.
On assiste progressivement à une régionalisation des populations animales,
qui seront à la base de la naissance des races locales.
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Par kordouane le 12 Août 2014 à 06:48
La révolution agricole et les débuts de la sélection animale (3)
Au XIXème siècle, à la faveur de la révolution agricole,
les connaissances nécessaires à l’amélioration des cheptels
et à la sélection de races domestiques régionales se développent.
Progressivement, des animaux mieux conformés et plus productifs font leur apparition.
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Par kordouane le 12 Août 2014 à 06:42
L’élevage productiviste d’après-guerre (4)
Entre les années 1960 et 1980, on assiste à une évolution de l’agriculturemarquée par une uniformisation et une progression importante en effectifs des troupeaux.Les animaux domestiques de races régionales disparaissent alors peu à peu des élevageslorsqu’ils ne correspondent plus aux critères dictés par l’industrie agro-alimentaire.
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Par kordouane le 12 Août 2014 à 06:37
L'élevage de nos jours(5)
A partir des années 1980, l’agriculture se trouve confronté aux limites du système productiviste.
Les mutations en cours conduisent à s’interroger sur le devenir de l’élevage.
Le souci de l’environnement et le goût pour les produits du terroir
conduisent des éleveurs à s’intéresser à nouveau à ces races régionales à faible effectif,
pour lesquelles des programmes de sauvegarde sont désormais conduits.
De plus, ces races sont reconnues pour leur intérêt patrimonial génétique.
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